dimanche 2 juin 2013

Medjugorje : le cas Colleen Willard septembre 2003




T'abandonnes-tu maintenant?

Lorsqu’elle alla voir son médecin pneumologue à Chicago, Colleen se dirigea droit vers la réceptionniste et dit: «Je suis Colleen Willard». Au bureau, tous la connaissaient de vue et ils répondirent: «Non, vous n’êtes pas Colleen Willard!». Outrée, elle répondit: «Si, c’est moi!». Ils coururent à travers le bureau en criant: «Dr Duggan, Dr Duggan, venez voir!». Ne comprenant pas cette agitation dans le bureau, le Dr Duggan arriva aussitôt. Il vit Colleen et fut comme frappé par la foudre; sa vision de la vie changea complètement. «Oh, mon Dieu! Oh, mon Dieu!».

Nous avons découvert l’histoire de Colleen par Patrick Latta, qui habite à Medjugorje depuis longtemps. Nous avons aussitôt appelé Gail et Jack Boos, et Gail nous a raconté l’histoire suivante:

Colleen souffrait d’une tumeur inopérable au cerveau, qui affectait l’hypophyse, toutes les grandes et les petites fonctions motrices; elle était rachitique, sa thyroïde était réduite à la taille d’un raisin, elle souffrait de sclérose en plaques, de lupus, de fibromyalgie et de neuf autres maladies mortelles douloureuses. La Clinique Mayo (première clinique de recherche aux Etats-Unis pour les cancers du cerveau et les traumatismes de la moelle épinière) rappelait souvent à Colleen que, même si elle n’avait pas eu de cancer au cerveau, le simple fait d’être en vie était un miracle.

 Malgré sa souffrance, Colleen souhaita devenir bénévole dans notre Association, “St Clare Helper of the Poor”. Elle devint l’un de nos meilleurs collecteurs de fonds pour les réfugiés et les démunis de Bosnie, en utilisant simplement le téléphone lorsque sa voix le lui permettait.
Dans les derniers stades du cancer, les souffrances de Colleen étaient devenues extrêmes au point que la prière était son ultime recours.

 Elle ne pouvait plus monter l’escalier qui menait à sa chambre ou à son oratoire ni se rendre à sa salle de bain sans assistance; le simple fait de toucher sa peau lui causait une douleur inimaginable. John, le mari de Colleen, continuait à travailler tandis que leur fils de 21 ans restait à la maison pour prendre soin de Colleen. Un jour, je lui ai parlé de nos nombreux pèlerinages à Medjugorje. Colleen eut envie d’y aller mais elle savait bien qu’elle ne pourrait s’y rendre physiquement. De plus, à cause des nombreuses factures médicales qui arrivaient de la Clinique Mayo, sa famille n’en avait pas les moyens. Pourtant, Colleen nous dit: «Je ne veux pas y aller pour guérir, je veux seulement y aller pour faire l’expérience de la Vierge Marie et de ce lieu saint.» Cela se passait en avril. En août, Colleen nous appela: «John et moi prions pour faire ce pèlerinage.» Je lui répondis:

«Dans ta condition, ce n’est que par la grâce de Dieu que tu pourrais te rendre en Europe.» «Non, Gail, dit-elle, nous avons prié de tout notre cœur et j’ai dit au Seigneur, “Seigneur, si tu veux vraiment que j’y aille, j’ai besoin d’une confirmation. Demande au Père Agniello de m’appeler demain et je saurai que je dois y aller.” Le lendemain, le Père Agniello m’appela et me dit: «Colleen, je ne sais pas pourquoi, mais je suis censét’appeler ce matin.» C’est ainsi qu’elle sut que John et elle devaient aller à Medjugorje. C’était la confirmation.

Nous n’étions qu’à quelques semaines du voyage organisé pour Medjugorje. John paya les billets et nous devions nous rencontrer à Chicago. Je dis à John qu’il était très important de prendre une seconde assurance pour Colleen au cas où son état s’aggraverait à Medjugorje et qu’elle viendrait à mourir, car le coût du rapatriement pourrait atteindre un million de dollars.

Alors qu’ils embarquaient dans l’avion, Colleen et John furent placés par miracle en classe affaires. Colleen recevait un médicament toutes les 2 heures pour contrôler sa douleur. A l’aéroport de Split, John et Jack soulevèrent ses pieds, un à la fois, pour l’amener pas à pas jusqu’au bus. Malgré toute sa souffrance, elle était joyeuse, souriait toujours et louait le Seigneur d’être parvenue aussi loin. Le lendemain matin, pendant que Vicka parlait, Colleen fut amenée dans son fauteuil roulant le plus près possible de Vicka pour pouvoir mieux l’apercevoir. Mais tous les gens qui étaient autour d’elle la poussaient et s’appuyaient sur elle, les mères amenaient leurs enfants et les passaient par-dessus sa tête.

 Je pensais alors: «J’ai fait une terrible erreur en l’amenant ici. Seigneur, pardonne-moi, je t’en prie. C’est trop éprouvant pour elle!» Juste à ce moment-là, sa tête retomba en arrière et je crus qu’elle était morte. Elle m’avait dit qu’elle pouvait mourir à tout moment si l’hypophyse lâchait ou si elle recevait un fort coup sur la tête. Son mari, qui était loin derrière, se fraya un chemin dans la foule, lui releva la tète et lui mit un mélange de morphine et d’un autre médicament sous la langue. Nous attendîmes: elle mit beaucoup de temps à revenir à elle.

Quand Vicka eut fini de parler, elle se fraya un chemin dans la foule et s’approcha de Colleen. Les premiers mots qu’elle lui adressa en anglais, furent: «Dieu soit loué! Dieu soit loué!». Vicka ouvrit les bras, l’étreignit et l’attira contre sa poitrine, la serrant dans ses bras et l’embrassant, tout en la maintenant. Puis, elle posa sa main gauche sur la tête de Colleen; et au moment où elle allait poser aussi sa main droite, les pèlerins lui tirèrent carrément la main pour y empiler des demandes de prières, des chapelets et des photos. Vicka garda longtemps la main sur la tête de Colleen qui n’arrêtait pas de dire: «Ma tête est comme un charbon ardent! Ma tête brûle! J’ai l’impression qu’une spirale me traverse le corps!». Après avoir prié sur Colleen pendant près de 10 minutes, elle se rapprocha d’elle, la serra dans ses bras et l’embrassa à nouveau. Colleen pleurait.

Puis nous mîmes Colleen dans un taxi et John la poussa dans l’église, devant. Jack et moi restâmes dans le fond. Plus tard, Colleen nous confia que, lorsque le prêtre commença à consacrer l’hostie, elle entendit la Vierge Marie lui dire:

«Ma fille, t’abandonnes-tu à Dieu le Père? T’abandonnes-tu à mon Époux, le Saint Esprit? T’abandonnes-tu à mon Fils Jésus?» Puis: «T’abandonnes-tu maintenant?». 

Et Colleen dit: «Oui, je m’abandonne maintenant, j’abandonne tout pour la gloire du ciel, tout pour la gloire de Dieu.» A ce moment-là, elle sentit des fourmillements dans les jambes et sut que quelque chose avait changé. A la fin de la messe, elle sut qu’elle était guérie et se leva de son fauteuil roulant. J’étais stupéfiée. John était derrière elle et poussait le fauteuil vide! 

Colleen sortait de l’église sur ses deux pieds! Nous allâmes au restaurant Chez Victor et les gens accouraient vers elle. Ils avaient entendu parler de la guérison ou l’avaient vue. Elle rentra à pied à la pension et la, elle s’amusa à pousser son mari dans son fauteuil. Le lendemain, elle monta seule la Colline des Apparitions. Puis elle réussit à monter jusqu’à la 6e station du Krizevac. Elle avait même la force de monter jusqu’en haut, mais à la demande d’un prêtre, elle pria au lieu de continuer l’ascension.

Quand elle revit les médecins qui la soignaient aux Etats-Unis, Colleen passa tous les tests et tous les résultats se révélèrent normaux. Désormais, sa thyroïde fonctionne normalement, la tumeur au cerveau a disparu et il n’y a plus aucune trace de maladie dans son corps. Mais Colleen et John se demandaient comment expliquer la guérison aux médecins de la Clinique Mayo. Lorsqu’elle entra pour son rendez-vous, le médecin recula la chaise de son bureau et dit: «Alors, vous êtes allée à Medjugorje! Vous êtes pour nous la troisième guérison importante qui revient de là-bas!».

 Le problème était résolu, il n’y avait rien à expliquer.
La guérison de Colleen a rejoint des centaines d’autres guérisons dans les registres de la paroisse St-Jacques. Mais l’histoire de Colleen est bien loin d’être terminée. Comme elle servait courageusement Jésus et les pauvres avant de guérir, par l’offrande de douleurs terribles et constantes, elle offre maintenant sa santé pour répondre à l’appel de Jésus. Les mots-clés de la vie de Colleen et de toutes les grâces incroyables qui en découlent sont vraiment: «Oui, je m’abandonne»!

Sr Emmanuel 1.1.2004

www.enfantsdemedjugorje.com

=> STELLA MARIS 405 SOMMAIRE(payant)

Autres sources.

Son témoignage sur Gloria TV

ou

2012 Friedensgebet Wien Zeugnis Colleen Willard


des détails supplémentaires

son témoignage a été traduit dans de nombreuses langues du monde et publié dans 92 pays différents

AND AMAZING GRACE/    REPRISE DE L"info
idem crownofstars
idem SpiritDaily

en plus 

Pour finir

les 5 pierres de Medjugorje
Ecole de Marie*: Faire tout avec le coeur.( ce que joêlle ,l'aveugle a préconisé)
1. Prière du chapelet chaque jour ;
2. Lecture de la Bible minimum 5' par jour ;
3. Confession une fois par mois ;
4. Eucharistie chaque dimanche et si possible une à deux fois par semaine ;
5. Le jeûne au pain et à l'eau une  ou deux fois par semaine de préférence les mercredis et vendredis. Cette école de Marie est un chemin de sainteté. C'est le fil conducteur de tous les groupes de prière Marie Reine de la Paix.

Et j'ajouterai les conseils de
Saint Padre Pio qui  a pratiqué de manière héroïque ce qu'il prêchait :
1. Priez,garder l'espoir et ne vous inquiétez pas
2. Sans la messe nos vies sont vides
3. Nous laissons l'avenir à la Providence de Dieu.
4. Nous devons obéir au Pape
5. former des groupes de prière dans votre communauté
6. Reconnaîssez  Jésus dans une personne qui est malade
7. Éviter les commérages à tout prix
8. Critiquer seulement vous-même, et non pas les autres
9. Il ya beaucoup d'âmes à sauver


10. Faites entendre votre voix un peu pour défendre Dieu.



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