samedi 6 août 2011

Medjugorge :la Vierge de Civitavecchia




Les larmes de sang de la Madonnina


La famille Gregori est composée de Fabio, électricien âgé de 32 ans au moment des faits ; d’Anna Maria, son épouse, qui a 31 ans en 1995 et travaille comme employée ; et de leurs deux enfants, Jessica, 5 ans et David, 2 ans. Cette famille simple et équilibrée vit à Pantano, dans les faubourgs de Civitavecchia, non loin de Rome.

Au printemps 1994, Fabio avait été approché par les témoins de Jéhovah mais cette expérience fut de très courte durée. Aussi, pour symboliser son retour à la religion catholique, il demande au Prêtre de sa paroisse une petite statue de la Sainte Vierge. 

C’est lors d’un voyage à Medjugorje que Don Pablo Martin Sanguiao achète, en septembre 1994, la statue demandée auprès d’un artisan local. A son retour, il la porte en procession et l’installe dans une petite niche de pierre dans le jardin de la famille Gregori.




Le 2 février 1995, jour de la Chandeleur, les Gregori se rendent à la messe mais, celle-ci étant retardée, le père décide de retourner avec ses deux enfants à la maison, distante de moins d’un kilomètre. Au moment de repartir pour l’Eglise, la petite Jessica s’attarde devant la statue de la Sainte Vierge et appelle son père :





Papa, viens voir, la Madone pleure du sang . La petite fille s’était déjà souvent approchée de la statue, elle l’avait même fait tomber une fois, provoquant des rayures caractéristiques sur le manteau de la Vierge Marie. 

Cette fois-ci pourtant, Fabio rejoint rapidement Jessica, pensant qu’elle s’est blessée. Il constate alors que sa fille n’a rien et que, des yeux de la statue, coule un liquide de couleur rouge : une larme provenant de l’œil droit s’est déjà arrêtée au milieu de la joue et une autre, provenant de l’œil gauche, continue de descendre très lentement. Pensant à une hallucination, il touche le visage de la statue et constate que le phénomène est bien réel, son doigt ayant d’ailleurs laissé une trace sur la statue.


Le père et les enfants rejoignent alors avec un peu de retard l’Eglise et, aussitôt la Messe terminée, toute la famille informe le Prêtre de l’évènement. Ils se rendent alors dans le jardin de la famille Gregori et le Curé constate la lacrymation ; il s’agenouille et prie. 

Un peu plus tard, d’autres parents arrivent et tous remarquent les deux lignes de sang d’une extrême finesse qui finissent par se rejoindre. Des photos sont prises et on exclut d’emblée l’œuvre d’un plaisantin : la famille a quitté le domicile à 16 heures et le père est revenu avec ses enfants dix minutes plus tard. La finesse et la perfection des larmes ne saurait avoir été produite par une main humaine en si peu de temps.

Le lendemain, la nouvelle commence à s’ébruiter et le Prêtre divulgue le phénomène à ses paroissiens au cours de la Messe : Dans notre petite communauté, il se passe actuellement un fait extraordinaire. Une statue de la Vierge pleure des larmes de sang. Ne laissons pas ce signe tomber dans le vide.

Le 3 février au soir, Fabio Gregori est témoin d’une seconde lacrymation. Plusieurs personnes, famille et amis, constatent eux aussi l’évènement. Afin de protéger la statue, on installe une plaque de verre que l’on fixe à la niche à l’aide de ruban adhésif.

 Le 4 février, la foule commence à se masser dans le jardin des Gregori, une dame parvient même à toucher la statue et provoque une trace de doigt sur la coulée de sang. De nombreux témoins assistent à plusieurs lacrymations dans la soirée. Parmi eux, se trouvent notamment des policiers, qui étaient venus contrôler ce qui se passait, suite aux embouteillages provoqués par l’afflux de fidèles.



 La statue expertisée

Dans la journée du dimanche 5 février, le phénomène se répète à plusieurs reprises devant de nombreux témoins. Un premier prélèvement de sang est effectuée. 

Dans la soirée, l’Evêque du lieu, Monseigneur Grillo est informé du phénomène. Fabio Gregori décide, épuisé par le “ siège ” permanent de son jardin et les appels incessants, de retirer la statue de sa niche.

 Le lendemain, il la remet au Prêtre de la paroisse mais celui-ci ne peut la conserver car l’Evêque s’y oppose ; elle sera finalement cachée quelque temps chez un frère de Fabio qui habite à proximité. 

Les journaux se sont emparés du fait surnaturel et l’Evêque invite à la prudence, évoquant l’abondance de statues qui pleurent et de gens qui ont des visions. Son point de vue va considérablement évoluer dans les jours qui suivent…


L’évènement que constitue cette lacrymation engendre en effet beaucoup de débats, entre ceux qui y croient avec ferveur et d’autres qui soupçonnent une supercherie. La statue va alors être soumise à un rite d’exorcisme par Monseigneur Grilli puis examinée par des scientifiques, nommés à la demande de l’Evêque qui vient de rencontrer la famille Gregori.

 Les résultats de ces examens, effectués à la polyclinique Gemelli à Rome, sont sans équivoque : la statue est un corps plein, qui ne recèle aucune cavité, ni quelconque mécanisme. Toute hypothèse de substitution de la statue est également réfutée, la petite Madone des Gregori étant aisément identifiable par les éraflures causées lorsque Jessica l’avait faite tomber par mégarde. 

A la fin du mois de février, le résultat des analyses du sang prélevé sur la statue est publié par deux scientifiques : il s’agit bien de sang humain, de type masculin.


Début mars, commence l’investigation judiciaire car la famille Gregori est soupçonnée “ d’abus de crédulité populaire ”. Fabio Gregori se déclare serein :

Si j’avais truqué la statue, je ne l’aurais jamais remise entre les mains de l’Evêque. D’ailleurs, les multiples perquisitions et écoutes téléphoniques ne donnent rien et les nouveaux examens de la statue et du sang corroborent les premières investigations effectuées à la demande de l’Evêque.


témoignage décisif de Monseigneur Grillo



Une avancée décisive va se produire le 4 avril 2005, au cours d’une des nombreuses émissions de télévision consacrées au “phénomène de Civitavecchia ”. Le professeur Giancarlo Umani Ronchi, scientifique sérieux et impartial qui avait déjà examiné la statue et les larmes de sang le 28 février, déclare :

 “ Lorsque je me suis rendu à Civitavecchia le 28 mars dernier pour assister au prélèvement effectué par l’expert désigné par le Procureur, j’ai remarqué que les traces de sang étaient différentes, plus longues que celles que j’avais vues précédemment. ”

 Cette affirmation, qui aurait pu être jugée anodine, signifie en fait qu’au moins une autre lacrymation s’est produite entre le 28 février et le 28 mars, pendant que la statue était conservée par l’Evêque.

Le lendemain de cette émission, soit le 5 avril, Monseigneur Grillo reconnaît personnellement les faits : “ 

C’est vrai, la Madone a pleuré entre mes mains, et il y avait quatre ou cinq témoins Je venais juste de célébrer ma Messe, il était 8h15 du matin, le 15 mars. J’ai pris la statuette et, tandis que je récitais le Salve Regina, elle a recommencé à pleurer sous mes yeux. Ma sœur l’a touchée et elle s’est mis du sang sur le doigt …”

Monseigneur Grillo ajoute qu’il compte placer la statuette dans l’Eglise de Saint Augustin à Pantano, à l’occasion du Vendredi Saint et à l’heure à laquelle le Christ est mort sur la Croix.

Malheureusement, le procureur de la république va empêcher le retour de la statue dans l’immédiat, en la plaçant sous scellés, invoquant officiellement la nécessité d’effectuer de nouveaux examens. 

L’Evêque et les fidèles sont bien entendu très mécontents de cette ingérence de l’Etat et, malgré les polémiques, ils vont recevoir plusieurs soutiens, dont celui de Cardinaux influents, dont le Cardinal polonais Andrej Maria Deskur, ami personnel du Pape Jean-Paul II.


Au cours d’une veillée de prières pour la libération de la petite statue, le Cardinal Deskur rappelle qu’il était arrivé un fait similaire en Pologne en 1967, quand les autorités avaient mis sous séquestre l’image de la Vierge noire de Czestochowa. Une statue de la Sainte Vierge, identique à celle qui a pleuré des larmes de sang, est donnée à la fin de la veillée au Curé de Pantano, afin qu’il la remette à la famille Gregori.

 Nombreux sont ceux qui verront dans ce geste et dans la présence du Cardinal Deskur un soutien implicite du Saint Père. Le 18 avril, le séquestre, qui a semblé bien inutile, est levé et une commission théologique se réunit pour la première fois le lendemain.


Le retour de la statue

Quelques semaines plus tard, Monseigneur Grillo annonce enfin que la statue sera placée le 17 juin dans l’Eglise Saint Augustin, au cours d’une célébration eucharistique. Cette messe sera précédée de plusieurs veillées et l’on pourra noter, à partir de ce moment, la présence du Père Jozo Zovko, ancien Curé de Medjugorje, d’où provient d’ailleurs la statuette.




L’impatience justifiée des nombreux fidèles va laisser place à une grande émotion le 17 juin 1995, lorsque Monseigneur Grillo arrive avec la petite statue de la Vierge Marie. Celle-ci est d’abord installée dans une petite châsse transparente posée sur l’autel, installé pour l’occasion sur une estrade devant l’entrée principale de l’Eglise. 

Puis, à la fin de la célébration, l’Evêque emmène la statuette à l’intérieur de l’Eglise et se dirige sur la droite, vers la petite chapelle qui a été spécialement construite pour l’occasion. Il installe la statue dans une niche de pierre au fond de la chapelle et ferme cette grande châsse de verre. L’immense foule des fidèles commence alors à défiler lentement, pour se recueillir devant la statue de Marie qui conserve de petites coulées de couleur rouge sur le visage.




                                        Mgr Grillo (à gauche) avec le père Jozo.
                                        Lors du  retour de la statue au culte publique
                                         le 17 Juin 1995





A partir de cette date, la chapelle de l’Eglise Saint Augustin, à Pantano, va accueillir des dizaines de milliers de fidèles qui viendront prier, demander des grâces et témoigner ainsi de leur dévotion à la Sainte Vierge. Quelques mois après les faits, Monseigneur Grillo évoque d’ailleurs plusieurs cas de guérisons inexpliquées et de nombreuses conversions recensées, notamment celles de plus de 120 témoins de Jéhovah.

Reconnaissance et interprétation
La commission théologique chargée d’étudier les lacrymations de la statue de la Vierge Marie s’est réunie à treize reprises entre le 19 avril 1995 et le 22 novembre 1996. Dans le cadre de ses examens, elle a auditionné une quarantaine de témoins significatifs, dont les membres de la famille Gregori, y compris la petite Jessica, et l’Evêque Monseigneur Grillo. Les conclusions de la commission sont les suivantes : les témoins des lacrymations sont des personnes tout à fait équilibrées, leur récit est tout à fait digne de confiance.

Les lacrymations successives de la première statuette de la Sainte Vierge appartenant à la famille Gregori sont des faits objectifs et toute hypothèse de supercherie (substitution de la statue, peinture, mécanisme interne…) ou d’hallucination collective est définitivement écartée. La commission a également conclu que le phénomène ne pouvait avoir d’explication scientifique et qu’il ne pouvait s’agir d’une intervention diabolique dans la mesure où la statue avait été exorcisée par l’Evêque.

Les théologiens ont également constaté le sérieux de la famille Gregori, ainsi que les fruits attribués aux lacrymations : grâces reçues, conversions, ferveur et dévotion. S’il appartient à l’Eglise de se prononcer définitivement, la commission a rendu un avis très favorable et l’Evêque a d’ores et déjà reconnu les faits comme étant des signes du Ciel.





Quant à l’interprétation des lacrymations, plusieurs hommes d’Eglise s’accordent à dire qu’il ne s’agit pas d’un bon signe. Si, dans l’histoire des apparitions mariales, la Sainte Vierge avait déjà manifesté Sa tristesse face aux péchés de l’homme, notamment à La Salette, à Lourdes puis à Fatima ; la petite statue La représentant pleure des larmes de sang à Civitavecchia. 

On peut aisément interpréter ce signe comme la tristesse immense de notre Mère à tous face au déchainement du mal dans notre société actuelle.
On peut aussi penser, puisque les larmes révèlent un sang de type masculin, que la Vierge Marie veut nous rappeler les souffrances de Son Fils Jésus Christ durant Sa Passion.

Il paraît enfin important de replacer ces signes célestes dans leur contexte du début de l’année 1995 : à cette période, sont en effet signalés en Italie de nombreux cas de lacrymations de statues de la Sainte Vierge. 

Si quelques supercheries ont pu être établies, d’autres phénomènes, souvent uniques, n’ont hélas pas fait l’objet d’enquêtes approfondies. Heureusement, dans le cas de Civitavecchia, le phénomène de lacrymations s’est produit à différentes reprises et, qui plus est, devant de nombreux témoins.


 C’est notamment ce qui a permis l’ouverture d’une enquête et l’aboutissement à des conclusions concernant l’objectivité des faits.
Face à l’indifférence et aux péchés des hommes, les signes célestes ont été accueillis à Civitavecchia avec courage et confiance, particulièrement grâce à une famille chrétienne sérieuse et un Evêque qui a fort bien assumé ses fonctions.


La seconde statue exsude de l’huile

Ces signes ne se sont d’ailleurs pas arrêtés aux lacrymations. En effet, la statue qui a été offerte à la famille Gregori, identique à celle qui est désormais vénérée par les fidèles au sein de la chapelle de l’Eglise Saint Augustin, va elle aussi produire un phénomène inexpliqué.




Cette deuxième statue, bénie par le Cardinal Deskur au nom du Saint Père Jean-Paul II, puis remise aux Gregori afin qu’ils l’installent dans leur jardin en lieu et place de celle qui pleurait des larmes de sang, se met, dans le prolongement de la période des lacrymations, à exsuder un liquide huileux et agréablement parfumé.




Ce phénomène a pu être constaté par de nombreux témoins crédibles qui ont attesté les faits par écrit. De même, des dizaines de photos illustrent très clairement ces exsudations. Jean-Paul II lui-même était au courant des faits puisque la petite Jessica Gregori, premier témoin des lacrymations, lui avait écrit à ce sujet. Les fidèles interprètent ce nouveau phénomène comme un signe d’espérance et de confiance dont doivent témoigner les hommes envers la Sainte Vierge.




L’exsudation d’huile est totalement imprévisible mais fréquente et l’on constate qu’elle se produit plus volontiers à l’occasion des fêtes catholiques majeures. La durée elle-même en est variable, de quelques minutes à plusieurs heures, voire plusieurs jours.

 Ce phénomène a débuté le 7 septembre 1995 et se poursuit aujourd’hui encore. Les analyses scientifiques ont, là aussi, démontré que l’on pouvait exclure toute supercherie (statue d’un seul bloc, sans cavité interne ni externe, absence de quelconque mécanisme) et que le liquide est “ probablement d’origine végétale et contient une substance aromatique, il ne s’agit pas d’huile mais d’une essence particulière… ”,


selon le rapport officiel établi à la demande de l’Evêque Monseigneur Grillo qui a, comme dans le cas des lacrymations, souhaité étudié les faits avec sérieux et discernement. Son témoignage, ainsi que celui de Prêtres et de Sœurs, attestent tous de l’objectivité des faits et de l’impossibilité de leur attribuer une explication scientifique.

L’exsudation, bien que sans doute moins spectaculaire, n’est pas de moindre importance que les lacrymations. L’huile est symbole de joie et signe de Consécration, l’onction d’huile représente l’intervention divine qui libère et sauve. Elle possède son propre sens, en succédant aux larmes de sang.




La statue, qui a été acquise lors d'un pèlerinage à Medjugorje en 1994, est aujourd'hui conservé dans une vitrine dans la paroisse de Saint-Augustin. Comme la Madone de Syracuse, la Vierge de Civitavecchia est connue comme la «Dame des Larmes."


Plus de cinquante personnes ont vu pleurer le statue, à commencer par les membres de la famille Gregori: Papa Fabio, son épouse Anna, leurs enfants, Jessica et David. Avec eux, même les photographes, journalistes, policiers, agents de police, les hommes de l'Église.



La statue a été placé en détention par l'évêque Grillo, qui l'a emmenée avec lui à la Curie et maintenu fermé sous clé. Mgr Grillo était sceptique, jusqu'à ce que, un jour, en tenant dans sa main, la statue a commencé à pleurer devant ses yeux étonnés.

Grillo est devenu convaincu de l'authenticité miraculeuse, comme il a convaincu même le pape Jean-Paul II puisqu'il a fait mettre la statue au Vatican pour la vénérer en 1995.
 et



, Wojtyla une fois est allé incognito à Civitavecchia pour examiner la statue.

Selon la version du Vatican Insider/ la Stampa 

Mgr Grillo, peu ouvert à ces phénomènes, est sceptique en 1995. Il ouvre l'hypothèse du surnaturel seulement parce qu'il a été demandé explicitement par le secrétaire d'Etat Angelo Sodano, qui lui a téléphoné au nom de Jean-Paul II.

Le pape polonais sait que la provenance de la Madonne  : Medjugorje.

 Il croit à la nature surnaturelle de l'événement.

http://www.lastampa.it/2016/08/22/vaticaninsider/ita/vaticano/muore-girolamo-grillo-il-vescovo-della-madonnina-yazylY0sgsGm0bcQNwwNiO/pagina.html



LA SUPPLIQUE À LA MADONNINA

Oh! ma très chère mère, oh! Vierge Marie, toi qui, aux pieds de la croix récolterais tout le sang très pur de ton adorable Fils, exauce ma prière. Fais que ce sang versé pour tous les hommes ne se soit pas répandu en vain sur la terre nue. Ravive avec cela mes pauvres larmes avec lesquelles je voudrais répondre à l’amour d’un Dieu mort et ressuscité pour moi. 

Accorde-moi la grâce d’une sincère conversion, qu’elle m’éloigne pour toujours du péché et de tout doute. Soutiens et augmente ma foi, en la rendant solide avec la totale adhésion à la volonté du Père, du Fils et du Saint Esprit. Oh! ma très douce maman, essuie mes larmes, éloigne de ma famille, de ma ville, de mon milieu du travail et du monde entier les terribles griffes du Malin. oh! Marie, avant de te quitter je voudrais te demander la grâce qui me tient plus à cœur et pour l’obtenir ardemment, je te supplie (bref silence). Amen.

http://www.appel-du-ciel.org/?page_id=51



Pour finir

les 5 pierres de Medjugorje
Ecole de Marie*: Faire tout avec le coeur.( ce que joêlle ,l'aveugle a préconisé)
1. Prière du chapelet chaque jour ;
2. Lecture de la Bible minimum 5' par jour ;
3. Confession une fois par mois ;
4. Eucharistie chaque dimanche et si possible une à deux fois par semaine ;
5. Le jeûne au pain et à l'eau une  ou deux fois par semaine de préférence les mercredis et vendredis. Cette école de Marie est un chemin de sainteté. C'est le fil conducteur de tous les groupes de prière Marie Reine de la Paix.

Et j'ajouterai les conseils de
Saint Padre Pio qui  a pratiqué de manière héroïque ce qu'il prêchait :
1. Priez,garder l'espoir et ne vous inquiétez pas
2. Sans la messe nos vies sont vides
3. Nous laissons l'avenir à la Providence de Dieu.
4. Nous devons obéir au Pape
5. former des groupes de prière dans votre communauté
6. Reconnaîssez  Jésus dans une personne qui est malade
7. Éviter les commérages à tout prix
8. Critiquer seulement vous-même, et non pas les autres
9. Il ya beaucoup d'âmes à sauver

10. Faites entendre votre voix un peu pour défendre Dieu.


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Medjugorje et la Gospa.